Certaines expériences de jeu sont plus fortes que d’autres, certaines passent sur votre chemin sans en laisser la moindre trace après quelques semaines (quelques jours pour les moins chanceux !), tandis que d’autres viennent s’immiscer dans le moindre espace de temps qui vous est offert, réduisant vos nuits et accaparant chaque interstice inactive de votre vie bien remplie. De ces jeux-ci, il y en a peu. Il faut dire que les coups de cœurs videoludiques ne sont pas bien nombreux au cours d’une année et se comptent bien souvent sur les doigts d’une seule main… Il semblerait que nous en tenions un. Attention, coup de cœur de la rédaction. Pénétrez avec nous au cœur d’une frénétique envie de construire à tout va !
L’idée de base est somme toute classique de nos jours, d’autant plus qu’il s’agit du second opus de la série. L’attente fut longue pour les amateurs et enfin, en ce 12 juillet 2019, la délivrance arrive… Attendu et espéré par des milliers de gamers, le soft se devait d’être à la hauteur de toutes ces attentes. Est-ce un succès en devenir ?
Retour sur la saga Dragon Quest :
Avant de rentrer dans le vif du sujet, rappelons pour les novices que Dragon Quest, avant de fricoter avec les joies de la construction en tout genre, est avant tout une grande aventure, un jeu de rôle mythique où s’entrecroisent des créatures charismatiques et pleines de couleurs, notamment les gluants qui ressemblent à de grosses gouttes d’eau souriantes, appelés aussi les Slimes. C’est dans cet univers coloré que Dragon Quest Builder prend son essence afin d’offrir aux joueurs une expérience incroyable où la survie, le bac à sable à bâtir, l’action et l’exploration se mélangent avec subtilité et habilité.
Dragon Quest Builder 2 se dévoile…:
Si vous avez suivi nos nombreuses actualités concernant le jeu, vous n’êtes pas sans connaître le synopsis de cette nouvelle aventure. Prenant naissance à la suite même du premier opus, les héritiers du Kaos sèment toujours une sacrée zizanie et n’ont qu’un seul objectif : faire régner un vent de terreur où la destruction est le seul mot d’ordre. Rien ne doit être construit, rien ne doit être planté. Tout est voué au désastre et au chaos, que trépasse celui qui ne respecte pas cette règle suprême. Sympatoche la vie dans le coin !
Commençons par le commencement. Le choix de votre personnage : plutôt garçon, plutôt fille ? Quelques menues personnalisations (nous aurions aimé en avoir davantage dès le démarrage du jeu, admettons-le !) et vous voilà prêt à partir dans une grande aventure qui débute à bord d’un mystérieux navire qui sera bientôt le siège d’un malheureux naufrage, laissant ainsi le champs libre à votre créativité.
Un savoureux mélange des genres :
Doté d’une jouabilité accessible et agréable, le soft vous invite à prendre en douceur les commandes de votre héros. Tout y est expliqué, tout est précisé, tout est amené avec beaucoup de douceur, permettant à quiconque de se sentir à l’aise dans l’aventure, y compris les joueurs les plus novices. Un véritable tutoriel est disponible, et si vous oubliez quelques détails au cours de la partie, il vous est possible de retrouver toutes les informations dans le menu du jeu. Un détail qui a son importance, puisque, reconnaissons-le, nous en avons eu besoin une fois au cours de notre partie (pour le remplissage d’une certaine amphore magique pour ne rien vous cacher !).
Une fois les commande acquises, sachez qu’il ne sera plus possible de votre ennuyer au cours du jeu, il y a TOUJOURS quelque chose à faire, surtout pour les plus aficionados de la construction. Dragon Quest Builder 2 repose en effet sur plusieurs axes qu’il vous faudra maîtriser avec perfection pour avancer dans l’aventure : l’exploration, les combats et la création.
L’exploration du territoire :
Si vous ne vous attarderez par bien longtemps sur la première île au cours de votre premier passage, votre véritable aventure commence sur l’île de Verchamps, vaste territoire sacré qui sera le siège de vos premières cultures, tandis que vous bataillerez ferme pour redonnez vie et verdure à cette contrée boueuse et puante à votre arrivée.
L’inconnu ne devra en aucun cas vous faire peur, mais plutôt être la source d’une excitation toujours bien présente qui doit vous pousser à explorer encore et encore. Quelque soit le climat, l’altitude mais aussi toutes les embûches qui peuvent se mettre en travers de votre route, votre objectif restera le même : fouiner de fond en comble la moindre parcelle de toutes les îles disponibles afin de connaître toutes les plantes, toutes les graines, mais aussi les sols, les roches, les arbres, les animaux et les monstres !
Chacune de vos explorations donnera lieu à de nouvelles découvertes. Il vous faudra perfectionner votre équipement afin de pouvoir extraire la moindre essence des entités qui vous entourent. Ainsi, les premiers matériaux s’amasseront sans mal dans votre inventaire, le bois et la roche seront de précieux alliés pour vos premières constructions. Afin de vous aider dans ce périple, une précieuse carte est à votre disposition. Bien entendu, celle ci se dévoile au fil de votre découverte…
Que serait une exploration digne de ce nom sans quelques points remarquables où il est possible de revenir aisément d’un simple claquement de doigts ? Les naviglobes sont là pour répondre à ce besoin et ils vont permettront de revenir dans certaines zones aussi souvent que nécessaire simplement en les sélectionnant sur la carte. Les plus audacieux seront, comme bien souvent, récompensés par la présence de quelques coffres camouflés de ci de là, mais nécessitant quelques prises de risques pour être dénichés… Rien d’insurmontable, et nul doute que tout le monde finira par en trouver sur son passage !
Les combats :
Avant de rentrer dans le vif du sujet de la création (c’est ce que vous attendez le plus n’est ce pas ? Quels petits chenapans chez NT, ils font durer le suspense !), arrêtons nous quelques instants sur un aspect important du jeu : le combat, puisque l’action est bien présente et au cœur de l’aventure.
Contre toute attente, malgré un titre évocateur aux joies de la construction, Dragon Quest Builder 2 (DQB2) laisse une part belle à l’action et aux multiples combats. Accompagné par Malroth (vous vous en souvenez ? Oui oui… Le boss final de Dragon Quest II ! Bon, pour le moment il est amnésique, vous en savez donc plus que lui !), vous allez pouvoir taper du squelette, fracasser de l’arbre dégénéré, démonter des bestioles diaboliques, le tout avec beaucoup de plaisir. En effet, loin d’être tout aussi développé qu’un RPG traditionnel, le soft propose simplement aux joueurs de réaliser des combats faciles et accessibles pour donner un peu de rythme à l’aventure et éviter une certaine routine lassante si la construction était la seule occupation du jeu…
Grâce à vos talents de bâtisseur, vous parviendrez à réaliser des armes de plus en plus perfectionnées et de plus en plus efficaces. Plus tranchantes, plus piquantes, ou même empoisonnées, les monstres n’ont qu’à bien se tenir ! Chaque combat donnera lieu à un gain d’expérience, vous permettant de monter en niveau avec Malroth. Une petite astuce pour vos combats ? Ne restez pas immobile et tout ira bien, même contre les plus gros ! En effet, la majorité des monstres s’avère être particulièrement prévisible et il devient aisé d’anticiper leurs attaques. Un petit pas de ballerine sur le côté et vous voilà à l’abri du prochain assaut !
La création :
Nous y voilà ! OUI, OUI, OUI, amis bâtisseurs, vous allez pouvoir jouir d’une panoplie incroyable de possibilités de créations multiples. Mais attention, il va falloir être un peu patients. Tout ne vous sera pas donné dès le début. Seuls les plus persévérants parviendront à débloquer toute l’immensité des possibilités du soft… Sans grande surprise, tout se déroule autour d’un établi (perfectible !) qui deviendra rapidement votre QG personnel. Grâce à lui, vous parviendrez à concevoir une multitude de choses diverses et variées, allant de la chope de bière pleine (mouahahaha) à un sac d’engrais, tout en passant par des dizaines d’accessoires pour la cuisine, des meubles, mais aussi des escaliers, planchers, et tant d’autres. Il serait long et fastidieux de tout vous dévoiler. Aussi, DQB2 perdrait assurément un certain charme puisqu’il est jouissif de découvrir l’ensemble des nouvelles créations disponibles.
Véritable petit génie, de très nombreuses nouvelles idées viendront régulièrement émerger de votre cervelle. Par exemple, tandis que vous gagnez un niveau d’expérience au combat, l’idée d’une nouvelle arme pourrait bien germer dans votre esprit, ou encore celle d’un meuble adapté pour venir en aide à tel ou tel compagnon de voyage dans le besoin. Vos découvertes seront progressives et ne cesseront au fil de votre aventure.
Si la conception autour de l’établi permet de mettre au point de petites choses plus ou moins importantes comme nous venons de le voir, il est aussi de votre devoir de construire diverses bâtisses. Pour ce faire, plusieurs possibilités, selon vos envies, mais aussi parfois selon les requêtes : à votre guise ou selon un plan bien précis. Votre imagination est sans limite, tandis que les plans doivent être suivis à la brique prêt. Clairs et précis, il vous suffit de suivre les indications et de placer les éléments en suivant simplement le schéma récapitulatif. Une lumière bleue et un petit son viendront même souligner que vous avez correctement placé l’objet, de quoi rassurer les moins créatifs tenus par la main ! Les autres en revanche pourraient , peut être, ressentir une certaine frustration d’être à ce point aidés…
La construction personnelle d’un bâtiment s’avère plutôt intuitive et agréable. Il vous est possible de choisir le type de sol mais aussi le type de mur ainsi que la décoration afin de réaliser une pièce en particulier. Chambre, cuisine, salle de bain, toilettes pour les plus courantes, bien d’autres sont disponibles au gré de vos envies. Sachez simplement qu’il convient de respecter un minimum de règles : vos bâtiments doivent compter un mur d’au minimum deux éléments de hauteur et posséder un système d’éclairage. N’oubliez pas d’y mettre une porte !
Préparez vous à être chouchouté !
Alors que le tutoriel au début du jeu prend clairement le joueur par la main, sachez qu’il en sera ainsi pour la suite de l’aventure. Dragon Quest Builder 2 ne cherche clairement pas à enquiquiner ses joueurs et tout y est fait pour conférer au jeu un aspect agréable au fil des heures. En effet, la construction y est aisée, les menus sont simples et bien pensés, votre inventaire d’une richesse incroyable, votre énergie non punitive (manger est important mais cela ne viendra pas vous déranger toutes les 5 minutes, puisque l’intérêt du soft n’est pas la !), les composants d’une future construction à venir précisés dans l’établi, des plans clairs… Bref, c’est un plaisir sincère de pouvoir avancer dans l’aventure sans être bloqué par de petites futilités qui n’auraient d’autre intérêt que celui de vous ralentir. Vous êtes là pour profiter, alors allez taper de la briquette toute la journée avec quiétude !
Ainsi, les joueurs en quête de challenge pourraient bien être rapidement agacés du manque de challenge et d’être à ce point tenus par la main sans cesse… Certaines requêtes des villageois frisent en effet le ridicule, comme le remplissage d’une rivière (oui oui, ça aussi vous aurez à le faire !) pour laquelle les habitants vous attendent tous les 10 mètres pour vous dire qu’il faut de l’eau à cet endroit… Néanmoins, difficile d’être totalement réfractaire à un tel assouplissement de la difficulté du jeu. En effet, si le challenge est toujours appréciable lorsqu’il est combattu avec brio, Dragon Quest Builder 2 offre aux joueurs une aventure savoureuse où la vie suit son cours avec bienveillance.
En quête de missions :
Le soft repose sur le principe de missions générales et d’une multitude de quêtes annexes. Ainsi la trame principale s’appuie sur les missions, plus imposantes et fastidieuses, demandant le plus souvent le déblocage de nombreuses quêtes avant de trouver leurs finalités.
Tandis que vos rencontrent se multiplient, vos compagnons de fortune deviendront bientôt des villageois dévoués et déterminés à faire de votre terrain de jeu une terre où il fait bon vivre. Lorsque vous parvenez à embellir leur quotidien, une explosion de petits cœurs vient se déverser un peu partout sur leur passage : ce sont les points de gratitude. Ces deniers vous seront particulièrement utiles au cours de votre aventure afin de débloquer divers objets et aptitudes.
Un villageois a besoin d’aide ? Au sommet de sa tête trône désormais un point d’exclamation, qui viendra rapidement se griser une fois que vous aurez écouter religieusement ce qu’il souhaite vous confier. Une fois sa requête accomplie, un nouveau symbole bleuté apparaît au dessus de lui, il ne vous reste plus qu’à valider la quête afin de poursuivre votre aventure. Et tout ceci est visible sur le plan. Une aventure en toute quiétude les amis !
Une aventure humaine :
Travailler jour et nuit (quoique, méfiance la nuit, les ennemis les plus coriaces rôdent !) c’est bien beau mais un village n’a que peu d’intérêt sans ses fidèles villageois ! DQB2 offre un florilège de personnages dotés chacun d’une véritable personnalité caractéristique. Certains y verront une similitude avec le premier opus, tandis que ceux qui découvriront le soft à partir de la seconde aventure seront sans doute charmés par tous ces petits villageois bavards et dévoués. Véritables pipelettes, ces nouveaux amis ne manqueront pas de vous confier leurs humeurs, leurs souhaits et leurs craintes. Certains dialogues pourraient bien passablement vous agacer, pressé de retourner à votre labeur de bâtisseur. L’ensemble des dialogues, menus et autres textes divers est intégralement traduit en français, sans coquille, et avec humour !
La survie insulaire avec les copains :
Oubliez les transats et les bières sirotées sur le sable chaud, il y a du pain sur la planche, ou plutôt du bois sur l’établi ! Votre responsabilité en tant que bâtisseur est multiple et les tâches ne manquent pas. Au delà de chapeauter votre communauté de plus en plus importante, il vous faudra réaliser de multiples plantations afin d’offrir les récoltes dès le petit déjeuner à votre colonie de travailleurs affamés.
Vos fidèles compatriotes ne seront pas ingrats mais toujours présents pour vous aider à la tâche. Les fastidieuses sessions d’arrosage des cultures ne seront dès lors plus de votre ressort et vous pourrez même leur demander de planter de nouvelles graines dans un champs choisi par vos soins. Pour le renouvellement de la terre afin de la rendre cultivable, il faudra voir avec le Ionduleux, un énorme vers de terre, qui n’attend que la pose d’un nouvel épouvantail pour se remettre à la tâche tout autour de ce dernier.
Rien ne sera perdu et dans votre petite communauté qui se développe telle une fourmilière en effervescence, tout le monde est important et chaque chose est utile. Ainsi, même les toilettes sont une source d’engrais en devenir… Dans la survie, il n’y a jamais de gâchis, Mike Horn ne viendrait sûrement pas nous contredire !
Chic chic chic, des surpriiiiises !
Afin de récompenser les plus aventureux des joueurs, le soft dispose de nombreuses petites surprises disséminées dans chaque petit recoin. Nous vous confions déjà précédemment l’existence des coffres, mais sachez que les énigmes feront aussi leur apparition assez rapidement dans l’aventure, et sans vous dévoiler l’intégralité des petites douceurs qu’offre le jeu, nul doute que vous ne manquerez pas d’être agréablement surpris en parcourant méthodiquement chacune des îles.
Des papouilles à la rétine vous dites ?
Sans grande surprises, les graphismes de DQB2 sont cubiques, totalement adaptés à la construction. Néanmoins, malgré une première approche qui pourrait déconcerter les nouveaux arrivants dans le genre, la réalisation s’avère être particulièrement propre et soignée. Il est aisé de distinguer les différents substrats disponibles au sol, aisé de bâtir des bâtiments de toutes sortes quelques soient les matériaux utilisés. Ainsi, plus vous avancerez dans le jeu, plus les graphismes pourraient bien vous séduire, éblouissant par de multiples couleurs chaque parcelle de votre village qui s’éveille au fil des jours.
En revanche, la réalisation graphique peut s’avérer un peu agaçante notamment lors du passage sous d’imposants arbres : vous percevez alors votre petit héros par transparence sous les branchages. Il devient alors parfois nécessaire de jouer avec la caméra grâce aux joystick, afin de mieux distinguer vos allés et venues et réaliser certaines récoltes. Fort heureusement, la caméra s’avère être aisée à manipuler, tout autant que le zoom, bien qu’il puisse nécessiter une légère prise en main au début.
Prenons quelques lignes pour souligner les musiques et bruitages du jeu. Si les musiques ne marqueront probablement pas les esprits (ou alors peut être par leur redondance…), elles n’en restent pas moins adaptées aux diverses situations. Calme et insouciance au village, la musique s’emballe à l’arrivée d’une flopée de monstres prêts à en découdre. DQB2 offre une belle place à une large panoplie de bruitages qui pourraient bien vous séduire au début de l’aventure, puis vous agacer par la suite. En effet, certaines scénettes redondantes n’apportent pas grand chose au jeu et pourraient être réduites considérablement. Les nouvelles recettes ou les victoires après combats, sans oublier quelques mises au point minières (non non, vous n’en saurez guère davantage !), sont autant de longueurs qui n’apportent pas grand chose et qui pourraient être « zapper » sans mal. Une « zapette » impossible, il vous faudra régulièrement patienter.
Ne nous avions nous pas promis un multijoueur ?
Curieusement, si le multijoueur est bien présent et s’avère être une véritable invitation à la visite de l’île de vos amis, il n’est disponible qu’après avoir avalé au minimum 3/4h de jeu (bien davantage pour ceux qui souhaitent prendre leur temps, d’autant que ce type de jeu peut rapidement devenir chronophage avec peu de limites si ce n’est la carte !).
Au cours de l’écriture de ce test, nous ne pouvons vous révéler nos impressions sur le multijoueur en ligne puisque ce dernier n’était pas encore ouvert… Néanmoins, il nous tarde de vous retrouver dans vos plus belles bâtisses afin de partager des astuces de bâtisseurs ! Il est possible d’accueillir jusqu’à 3 joueurs chez soi (en ligne ou en local) afin de pouvoir construire et bâtir toujours davantage ! Une riche idée qui permettra assurément de conférer un aspect supplémentaire à ce soft : celui de la communauté qui bâtit sans relâche, et qui présente au monde ses plus belles créations. Un panneau d’affichage est disponible et vous permet de diffuser les plus belles photos de votre petit coin de paradis (de quoi vous vanter auprès de vos amis !) et bien entendu, de découvrir celles des autres joueurs.
Enfin, il est possible de réaliser différentes mimiques et gestuelles grâce à une simple manipulation du joystick (pas des plus intuitives). Saluez vos amis, piétinez pour exprimer votre agacement ou encore riez aux éclats, autant de facéties disponibles, inutiles mais rigolotes. Qui ne s’est jamais amusé à réaliser ces mimiques encore et encore lors de longues parties en ligne, simplement pour plaisanter avec celui d’en face, qui en général réplique par de pareilles futilités !
Des améliorations possibles ?
DQB2 dispose d’un florilège de qualités mais aussi de quelques défauts. Nous avons déjà souligné précédemment un manque de visibilité sous la couverture arborée, ainsi que les longueurs répétitives du jeu. Soulignons aussi les temps de chargement qui peuvent s’avérer un peu longs pour les plus impatients mais qui restent bien peu nombreux et donc négligeables face à la fluidité du jeu par ailleurs.
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Le saviez vous ?
Le gouvernement japonais ne plaisante pas avec la rigueur scolaire et professionnelle… En effet, la sortie de Dragon Quest III en pleine semaine a engendré un tel absentéisme de masse dans les écoles et les entreprises qu’Enix s’est fait remonter les bretelles et depuis, tous les softs de cette grande saga sortent en dehors des jours ouvrés !
Conclusion
Dragon Quest Builders 2 est un véritable petit joyau que vous pourrez travailler des dizaines d’heures durant et disposant d’une durée de vie sans limite puisque votre imagination est l’essence même de votre île principale, cumulé à des îles annexes où vous serez guidé afin de mener à bien vos missions. Le soft offre aux joueurs tous les atouts d’un hit qui risque de marquer les esprits : créativité, combativité, humanité... Tout y est ! Coup de cœur chez NT !
LES PLUS
- Durée de vie
- Votre créativité est à l’honneur !
- Diversité des récoltes, des substrats et des créations possibles
- Totalement en français
- Menus clairs et intuitifs
- Graphismes colorés
- Facile...
LES MOINS
- ... un peu trop facile ?
- Des longueurs répétitives
- Une histoire pas bien originale
haha j’attend la facteur là, merci pour ce test
Le truc qui m’avait soûlé dans le 1er opus, c’est de devoir recommencer sa ville à 0 à chaque changement d’île.
C’est toujours le cas ?
Je vais chercher le jeu en magasin ce midi, j’ai hâte de l’avoir entre les mains ! La démo m’a parue un peu vide, hâte de pouvoir enfin explorer Verchamps 🙂
Je suis bientot a la fin du 1er. Et ensuite, a moi le second opus ! mouhahaha
Super retour sur le jeu !
Je l’attends depuis que j’ai fini le premier. Je l’ai depuis hier et j’ai plus envie de lâcher ma manette !
Adieu ma vie sociale :p
Je le prendrais quand j’aurais fini le 1 et qu’il aura un peu baisser (au même niv que le premier) 🙂 50 balles, ça fait cher pour un jeu type « minecraft » x)