Vous avez la nostalgie de Fallout New Vegas. Vous rêvez d’un remake Switch de Fallout. Vous aimez parler, aider, embrouiller des autochtones sur des planètes inconnues. Eh bien Obsidian a peut-être sorti le jeu que vous attendiez, mais tout ne se fait pas sans encombre.
Le fameux « oups on vous a oublié »
Dans l’univers de la science-fiction, il n’est pas rare d’avoir le pitch de départ de The Outer Worlds, vous êtes un colonisateur cryogénisé et envoyé dans l’espace pour aller coloniser de nouvelles planètes, mais là où votre sommeil froid aurait dû vous occuper 10 ans, il va vous en coûter 70, car « oups votre vaisseau a disparu des radars ». Vous vous réveillez alors face au Docteur Phineas Welles, qui vous demande (vous somme si j’ose dire), d’aller récupérer du fluide pour lui, ce fluide sert à être injecté pour que notre corps ne meure pas instantanément après 70 ans de cryogénisation. Votre vaisseau et vos camarades sont le fleuron de l’intelligence de votre époque, le Docteur veut alors les réveiller eux aussi pour espérer renverser l’état actuel des choses.
Car oui, c’est loin d’être tout rose dans The Outer Worlds, des factions ont totalement mis la main sur des planètes et exploitent les habitants pour faire des boîtes de sauthon (une sorte de mélange entre du saumon et du thon), ou autres tâches d’usine ingrates. Certains groupes deviennent dissidents et montent leurs petites factions, mais ce n’est pas la joie partout.
Vous l’aurez compris, le scénario de base de The Outer Worlds nous donne une impression de déjà vu, mais ce n’est pas grave, lançons-nous quand même dans cette histoire ! Vient alors la création du personnage, il est plutôt complet, mais finalement très inutile, nous sommes sur un FPS et nous ne voyons pas notre personnage, sauf si nous attendons devant notre console un moment alors la camera se met à tourner autour de notre personnage. Vous l’aurez compris c’est très anecdotique, nous allons donc créer notre personnage puis choisir ses statistiques.
Bon à rien ou moyen en tout ?
Le système de compétences est bien fichu, il est au départ réparti en 7 branches, puis en sous branches (2 ou 3). Nous allons donc par exemple pouvoir augmenter notre Furtivité, ce qui (jusqu’au niveau 50 de la branche) augmentera le talent Discrétion, mais aussi Piratage et pour finir Crochetage. Nous allons donc rapidement au départ essayer d’atteindre 50 dans les branches autres que Corps à Corps et Défense.
Car en plus de débloquer par la suite des actions lors des dialogues, et d’augmenter vos statistiques, les compétences tous les 20 points débloqueront des compétences souvent très utiles ! Voir vitales pour certaines. Par exemple lors de l’augmentation de l’aptitude d’Armes Lourdes, nous allons débloquer à 40 points +50% des dégâts critiques des armes lourdes. À noter que les équipements peuvent augmenter nos stats, mais ces augmentations ne sont pas prises en compte pour le déblocage de compétences.
Chaque niveau vous octroie 10 points, c’est donc aux alentours du niveau 15 que vous aurez atteint 50 points dans chacune des branches importantes, c’est à ce moment-là que la répartition des points ne se fera plus dans une branche, mais dans une aptitude particulière, vous allez donc commencer à réellement vous spécialiser.
De plus, vous obtiendrez tous les deux niveaux un point d’Avantage, ce point servira à vous donner des bonus définitifs un peu comme un arbre de talent, comme par exemple augmenter de 50 le poids que vous pouvez porter, ou bien augmenter votre jauge de DDT.
Pour augmenter encore cette personnalisation nous avons un système de craft très optionnel. Vous pourrez améliorer et ajouter des mods à vos armes et armures, très optionnel en mode normal, même en difficulté élevée c’est très peu vital, les armes ayant un gap énorme entre 2 « générations ».
Et pour finir, un système de défauts est présent, par exemple si vous tombez souvent du haut des falaises vous aurez alors (pour le roleplay) des jambes fragiles, vous pouvez alors accepter d’avoir ce défaut qui va faire baisser plusieurs de vos stats, pour en contrepartie gagner un point d’avantage.
Parle-moi ou bats toi !
Le déroulement de The Outer Worlds est un peu le même que les jeux du genre, si on ne peut s’empêcher de repenser à Fallout New Vegas lors de notre aventure, c’est que l’expérience est flagrante, et c’est plutôt positif pour le nouveau titre d’Obsidian, car New Vegas a souvent été considéré comme le « vrai » Fallout 3 par les fans. Le déroulement donc, se fait via une quête principale et une multitude de quêtes secondaires.
Vous allez alors pouvoir résoudre tout ça de la manière dont vous le désirez, la plupart du temps si vous avez peur de tirer vous pouvez vous en sortir grâce aux dialogues, en fonction des compétences que vous avez montées vous serez plus persuasif, meilleur menteur, intimidant, ou alors vos connaissances en ingénierie et en médecine vous débloqueront aussi dans vos quêtes.
Si les missions principales sont plutôt rapides, vous pouvez vous perdre lors les missions secondaires qui seront, comme souvent dans ce genre de jeux, un peu Fedex. Mais la multitude de façons de pouvoir vous en sortir donne une rejouabilité intéressante, car l’accomplissement d’une certaine manière peut totalement vous faire zapper un pan de l’histoire, si vous décidez lors d’une quête de tuer la personne en face, et que finalement plus tard dans le jeu elle avait une suite de quêtes à vous donner … et bien vous l’aurez dans l’os et sans le savoir.
De plus le dialogue n’est pas seulement la seule façon, mais même avec le dialogue vous pouvez jouer double jeu assez régulièrement pour faire un peu plaisir à tout le monde et jouer mère Theresa, mais au contraire vous pouvez aussi tuer tout le monde, c’est vous qui voyez ! Il faudra parfois aussi s’infiltrer à des endroits et donc apprendre et fouiller toute une zone. Parfois il sera plus rapide de pirater un ordinateur pour obtenir les infos ou débloquer des choses, mais pour le pirater il vous faudra peut-être une carte d’accès qu’il faut alors voler à quelqu’un (ou bien la récupérer sur son corps encore chaud).
Il n’y a presque jamais qu’une solution possible dans The Outer Worlds, c’est ce qui rend le titre aussi intéressant, même si les quêtes secondaires seront plutôt manichéennes dans leur ensemble, la quête principale vous laissera jouer sur deux tableaux sans jamais vous bloquer un pan de l’histoire.
Un système de réputation est présent, il est cependant fort anecdotique, au point que l’on n’en a même pas ressenti les effets …
Mon beau vaisseau
Au début du jeu votre but sera de récupérer un vaisseau, par la suite vous en deviendrez le propriétaire, ce qui donnera parfois des dialogues assez cocasses (car vous vous ferez passer pour l’ancien possesseur).
Ce vaisseau est vide, et vous allez alors un peu le remplir au fur et à mesure de l’avancement dans l’histoire.
Des compagnons vous rejoindront comme un cheveu sur la soupe. Très souvent vous allez le rencontrer et directement il va demander à rejoindre votre groupe, si Obsidian à voulu bien faire en rajoutant cet aspect très Mass Effect, les alliés seront parfois handicapants (car trop agressifs), ou alors ennuyants (un pouvoir est rapidement déblocable, mais son utilisation déclenche une courte vidéo très vite agaçante).
Vous trouverez aussi divers objets dans le monde qui vont alors décorer votre vaisseau. De plus des évènements comme des compagnons qui s’engueulent dans la cuisine, donneront un peu de vie à tout ça, mais comme trop souvent c’est très scripté et vite redondant.
Monde pas très ouvert
Que l’on soit clair dès le début, The Outer Worlds n’est pas un monde ouvert, et c’est un peu gênant pour le réalisme surtout dans ce genre de titre en 2020.
Tout n’est qu’une question de zone, c’est simple au sein d’une ville vous aurez parfois des bâtiments accessibles, et parfois des bâtiments qui vous demanderont un temps de chargement, ces temps de chargements au passage sont relativement longs et cassent réellement le rythme du jeu.
Ces zones seront plus ou moins petites, en extérieur vous aurez alors parfois des étendues immenses, tandis que parfois une toute petite maison sera instanciée. Pourquoi c’est dommage, car ça casse le rythme et le réalisme, vraiment, par exemple nous allons décimer 6 mecs d’une bande de maraudeurs, puis rentrer dans un bâtiment pour tuer le chef, eh bien personne ne sera en panique que l’on ait tiré un peu partout devant la maison, à croire que l’insonorisation est très bonne dans le futur.
De plus le jeu est assez gentil dans l’ensemble, si on tire sans faire exprès dans une ville, tout le monde s’en fiche, du moment que vous n’avez pas touché une personne. The Outer Worlds sera donc un ensemble de petites zones scriptées et instanciées, il gardera cependant en mémoire que vous avez rasé une zone, c’est plutôt cool.
Sors ton arme !
The Outer Worlds est un RPG, qui dit RPG dit loot, et franchement on a de quoi faire ! Les ennemis, des caisses, par terre, dans les boutiques, bref tout est questions de loot. Vous ne serez pas en rade d’armes, d’équipements ou bien même de munitions. Si finalement peu d’armes différentes sont disponibles, les sensations de tir sont plutôt agréables avec chacune d’entre elle. Vous pouvez devenir un gros bill au corps à corps avec une épée plasma ou bien brûler tout le monde avec votre lance-flammes, ou rester bien lâchement au fond à tirer avec votre fusil.
A noter que la version switch propose de pouvoir gérer la camera lors de la visée (et même en dehors mais ce n’est pas agréable) à l’aide du gyroscope des Joy Con ou de la manette Pro !
Si l’on peut esquiver facilement les combats dans les villes, en dehors nous n’avons que très peu le choix, la furtivité étant très mal gérée. En ville la furtivité est simple, si personne n’est dans la pièce ou si la personne est retournée vous pouvez tout vider sans aucun souci. En dehors il faut juste s’accroupir dans des herbes, et hop vous êtes caché comme un Pokémon sauvage prêt à bondir sur le premier dresseur qui passe dans votre champ de vision.
Mais l’IA n’est pas géniale, si vous avez le malheur d’être furtif et de tuer un ennemi alors tous les autres fonceront forcément sur vous, l’IA de vos alliés est aussi relativement agressive (même en option défensive). Ce qui rend clairement la furtivité à oublier.
Les combats seront alors assez bourrins et peu tactiques, vous aurez quand même la possibilité d’activer le DDT ! Une option qui ralentit voir « freeze » le temps pour vous permettre de voir les PV restant des ennemis, de viser tranquillement et surtout d’infliger des malus aux ennemis en fonction de là ou vous allez leur tirer dessus. Si ce mode est particulièrement efficace avec le fusil, quand vous serez avec un lance-flammes ou une mitrailleuse lourde autant vous dire qu’il est totalement inutile.
Un aspect technique totalement aux fraises
Que l’on soit clair dès maintenant, si le jeu d’Obsidian est très agréable dans son fonctionnement et ses idées, il est catastrophique techniquement sur notre Switch. Le jeu n’a pas pour réputation d’être une bête de puissance sur les autres consoles et même sur PC, mais sur switch c’est parfois à la limite du supportable visuellement.
Nous avons en permanence l’impression d’attendre que les textures charges, mais elles sont déjà bel et bien chargées mais en définition tellement basse qu’on n’est pas loin de la bouillie de pixels. Si le jeu s’en sort plutôt pas mal et nous fait oublier ces défauts dans les petites zones fermées comme une usine ou un bâtiment, dès que l’on met le bout de son fusil dans le monde on souffre. Visuellement, mais aussi en termes de ralentissements.
Une chute de framerate est assez fréquente dès qu’il se passe quelque chose dans le jeu, mais le pire c’est vraiment quand on court pour esquiver des ennemis, alors on peut se retrouver à se demander si le jeu n’est pas bloqué tellement les images défilent au ralenti. De plus des micro-chargements apparaissent sans raison quand on court dehors, très désagréables là aussi pour l’immersion.
Ces problèmes visuels sont aussi accompagnés d’un popping violent, c’est-à-dire que tout apparait presque uniquement quand nous sommes dessus. Vous imaginez alors la difficulté quand on veut sniper un ennemi et que parfois il apparait parfois non, il faut souvent se placer à un endroit avec notre viseur attendre 2 ou 3 secondes et voir si des ennemis daignent apparaitre.
C’est donc assez régulièrement que l’on se frotte les yeux car on doit forcer dessus pour s’habituer à tout ça, c’est vraiment dommage car le titre est très agréable mais est vraiment gâché par ce côté technique très en deçà.
De plus le jeu est du coup une vraie catastrophe en version dockée, si la version portable a le mérite d’adoucir ces défauts, sur télévision c’est vraiment baveux et fort désagréable. L’aliasing est aussi très présent, et sur TV il est vraiment trop poussé.
Un design … aléatoire
Si les designs des armures et des armes nous font forcement penser à Fallout, ceux des villes et des extérieurs sont peu inspirés. Les armes et armures sont au final très peu nombreuses en terme de design, les armures se ressemblent vite les unes aux autres, et les armes sont très souvent des reskins les unes des autres.
Toutes les villes sont très peu inspirées et finissent vraiment par toutes se ressembler (à croire qu’ils n’ont qu’un modèle de porte), dehors nous avons une végétation aléatoire, des couleurs choisies vraiment bizarrement (il est parfois difficile de distinguer un arbuste d’un petit rocher). De plus la différence de végétation et d’ambiance d’une planète à l’autre est très peu visible.
Les modèles des ennemis sont aussi très peu nombreux, comme les PNJ qui se ressemble beaucoup les uns des autres (le jeu est énormément peuplé de maraudeurs lambda, de riptides lambda et de soldats lambda).
De la difficulté en voilà
Si le jeu vous propose moultes options de difficultés, allant de facile à difficile, le jeu ne vous posera pas vraiment de grosse difficulté.
Cependant le mode Supernova est présent et est un équivalent au mode survie de Fallout New Vegas, vous devrez ici mieux gérer la durabilité de vos armes (elles peuvent se briser ! Comme votre armure), mais vous devrez aussi gérer votre faim et votre soif. De plus vos compagnons peuvent mourir définitivement (et comme ils ne sont pas bien malins … vous finirez vite l’aventure seul).
Conclusion
The Outer Worlds fait partie de ces jeux qu’on aurait adoré mettre en coups de cœur, il a tout pour combler un fan de Fallout et de RPG très verbeux à multiples embranchements. Mais techniquement le titre est bien trop à la ramasse, de là à se poser la question de sa réelle utilité niveau portage. En espérant des mises à jour correctives pour au moins régler le problème de fluidité. En attendant si vous avez un bon ophtalmo autour de vous, que vous aimez ce style de jeu, il saura vous combler une bonne vingtaine d’heure avec une belle rejouabilité … en mode portable.
LES PLUS
- La multitude de choix possibles pour arriver à nos fins
- Une histoire intéressante et qui est cohérente
- Des dialogues souvent drôles et intéressants lors des quêtes
- Un arbre de compétences et d’avantages complet et facile d’accès
- Sensation de tir agréable
- La visée au gyroscope
- Beaucoup de quêtes secondaires
- Le mode Supernova
LES MOINS
- L’aliasing
- Le popping
- Les textures
- Les ralentissements
- Ces toutes petites zones
- Beaucoup de chargements
- Des compagnons très anecdotiques
- Systèmes de défauts, de craft et de réputation un peu inutiles
A voir ce que le patch de 9Go day-one proposera !
Effectivement ! Si ça change vraiment la donne, je mettrais à jours le test avec plaisirs ! 🙂 c’est un bon jeu mais décevant techniquement.
Moi je lui donne 4/10
Aie aie aie de toute façon il fallait s’y attendre quand aucun gameplay n’est montré jusqu’à la sortie c’est très très mauvais signe c’était la même chose pour Mortal kombat 11 il est très moche mais à au moins le mérite d’être à 60fps. Bref assez dommage mais j’ai cru entendre qu’il y avait un patch day One qui ajoutait des textures HD donc à voir ?
Nianiania c est moche c est pas beau… On doit pas vivre dans le même monde, encore une la Switch est une putain de portable hybride salon. Ce n est pas une Ps4 bordel donc oui ça va être moins beau mais le niveau graphique pour une console mobile est terrible perso je suis ravis, j ai vu tourner the outer world il est très propre et n à rien à envier aux version de ses grandes sœurs.
Je vous plainds de chipoter à ce point perso je surkiff et j’applaudis les editeurs qui font l effort de faire des portages loin d être dégueulasse.
Et mortal kombat 11 est magnifique j en déplaise aux chiale uses, j en revais dans mortal kombat portable digne des opus de salon. Vive la Switch !
Pour le coup je l’ai réellement vu tourner, vu que je l’ai sous les yeux, les screenshots pris par mes soins ne reflètent pas la réalité et les ralentissement du au traitement et surtout à la petite taille de ces derniers.
Le jeu est vraiment moche, mais normalement un patch sortiras demain pour inclure des graphismes de meilleurs qualités, j’espère que c’est le cas.
On est sur un site Nintendo, ici, si tu as bien lu le test, je ne le compare jamais à la version Xbox, PS4 ou PC, je me contente de le comparer avec lui même et ceux que j’ai sous la mains, en l’occurence je n’ai pas jouer aux versions console/PC.
Donc oui vive la switch, bien sûr sinon on ne serais pas sur Nintendo Town, mais quand un jeu qui est très bon est gâcher par des ralentissements, et des graphismes totalement au fraises on est en droit d’être déçu (et encore une fois si tu as pris le temps de lire le test, je suis très positif sur le jeux, d’où même le 9 en gameplay 😉 ).
Hum… Mes excuses je me suis emporté je dois dire qu’il y a tendance à critiquer souvent la Switch injustement. Le dernier exemple en date c était pour xenoblade. Sérieux c est soûlant le jeu est superbe que ce soit en portable ou à la TV. Cette génération de joueurs et journalistes est abrutie aux résolutions framerate et CO et n est même plus capable de dire ‘whoua bravo d avoir porté un tel jeu en portable’. Moi je revais de pouvoir jouer un jour en mode nomade à des jeux de qualité type console de salon. Par exemple je reviens sur mortal kombat 11, les gens chipotent mais vraiment. Le jeu est superbe pour ce qu il est une version portable de MK 11.regardez le portage de Mk9 à l époque sur vita et vous verrez qu on vient de loin. Bref je surkiff ma switch je revais d une telle console, et je suis le premier à dire quand un jeu est bâclé. Je me suis peut être trop avancé sur mon avis envers the outer world.
tu racontes n importe quoi toi ! deja comparer outer et xenoblade, c est ridicule ! et tu parles de mortal kombat ..mais je l ai sur vita , et l image est 10 fois meilleure , claire , fine …et pas ce pate de pixel flou comme sur switch !!!
vive la switch ,OUI….mais les dev qui te font des portages de merde…non !
Le jeu est dégeulasse, ceux qui réfute le contraire devrait arrêter de jouer les yeux fermé… Même Xenoblade Chronicles DE qui fait lui aussi 13go est bien mieux foutu, ce plrtage est une catastrophe vendu 50€… un gros foutage de gueule ce jeu & ce patch. Autant y jouer ailleurs si vous le pouvez (et sa sera moins chère), autrement passer votre chemin ou prené borderlands Legendary à la limite.
comme mk11 , portage aux fraises, fait pasr un programme a la vas vite
J’espère que le patch va corriger les défauts, sinon ce sera sans moi
Dommage pour ce portage …
Fleuristo cette mauvaise foie moi aussi j’adore ma Switch mais à un moment va falloir être réaliste et arrêter de se voiler la face…
Bonjour
Du coup, avec cette mise à jour prévue à la sortie, un complément de test serait-il envisageable détaillant les améliorations s’il y en a ?
Nous avons fait le test avec le patch de sortie.
ah zut ^_^;
c’est donc réellement la loose graphiquement parlant…. c’est dommage…
C’est ça, effectivement j’ai oublier de revenir ici le préciser, mais le fameux patch day one tant attendu, était déjà présent dans la version fournis à la presse et autres testeur.
Espérons un patch qui corrige tous ses problèmes…