Parmi les licences historiques de Capcom, nous en avions connu une nous présentant la simple histoire du chevalier Arthur explorant le Royaume des Démons afin de sauver sa Princesse. Licence portée disparue depuis sa dernière apparition sur Smartphone en 2010 et surtout sa dernière apparition console en 2006, est ressuscitée d’entre les morts en 2021. L’original étant réputé très difficile, le reboot Ghost’n Goblins Resurrection arrivera-t-il à nouveau à terroriser son public ?
La résurrection d’un gameplay ancien et difficile !
L’intrigue de ce reboot nous est présentée en introduction de jeu avant même de commencer une nouvelle partie. Une cinématique colorée est dessinée sur un parchemin. La narration offre un contenu aussi simple que n’importe quel autre jeu de la série. Alors que Arthur et sa princesse contemplent la verdure de leurs terres ainsi que l’arbre divin du royaume, le Roi Démon fait son apparition et met fin à cette ambiance pacifique. Il absorbe les pouvoirs de l’arbre et étend son emprise sur le royaume des Hommes. Quelques secondes après, il enlève notre princesse et cela marque ainsi le début de notre périple.
En choisissant de démarrer une nouvelle partie, le jeu donne directement le ton. Ghost’n Goblins Resurrection nous propose un niveau de difficulté parmi quatre niveaux mais place d’office son curseur sur le niveau le plus élevé. En effet, Ghost’n Goblins n’a jamais été une série de jeu réputée pour être clémente et son public en est conscient. En plaçant le curseur directement sur le niveau de difficulté maximum, les développeurs se doutent bien que les connaisseurs de la première heure répondront au challenge qui leur est lancé.
Et quel challenge ! Mais avant d’y venir, décrivons le gameplay de ce Ghost’n Goblins Resurrection. Nous sommes bel et bien face au même cauchemar que nous avons vécu plusieurs décennies en arrière ! Une expérience typique de plate-forme et de run and gun en 2D dans laquelle nous contrôlons le chevalier Arthur sur des décors en 2D en balançant l’arme que nous avons équipée sur des ennemis qui popent durant notre progression dans les niveaux. Cette progression nous amène également sur des phases de plate-forme ne dispensant aucunement de l’apparition des ennemis. Une avancée que nous poursuivons méthodiquement jusqu’au boss de fin de niveau à vaincre pour passer au royaume suivant.
Il faudra ainsi veiller à avancer en gardant les yeux grands ouverts sur les ennemis mais également sur divers événements de stage qui peuvent détourner notre attention et ainsi nous précipiter vers la mort. Notre seule défense face aux ennemis est notre arme. Au début, nous sommes munis d’une lance. Appuyer sur la touche assignée à l’action permet de balancer une ou plusieurs lances en face de nous, derrière, au-dessus ou sous nos pieds lorsque nous sommes en plein saut. Autrement dit, nous n’avons que trois angles d’attaque au sol et quatre lorsque nous sommes en plein saut. Chose inconfortable quand certains ennemis peuvent initier une offensive oblique.
Nous serions tentés de classer cela dans les points négatifs, pourtant cela fait simplement partie du gameplay typiquement difficile de la série. De plus, notre analyse est incomplète puisque ces axes d’attaques ne concernent pas toutes les armes. La lance et l’épée répondent à ce pattern. Si vous arrivez à trouver un arc, une seule pression permet de tirer deux flèches qui contrairement à l’épée ou la lance ne sont pas tirées droit devant mais partent en deux diagonales opposées.
La petite dizaine d’armes ne déclenche pas du tout la même attaque et vous devrez adapter votre gameplay à chaque fois. Non seulement les angles d’attaques d’une arme à l’autre n’est pas forcément le même mais en plus, le laps de temps entre chaque attaque varie lui aussi. Il arrive alors souvent d’attraper une nouvelle arme sans le vouloir et de devoir changer totalement de gameplay sans l’avoir jamais souhaité. En effet, le gameplay n’est pas le même quand on peut balancer trois épées à la suite à chaque fois en face de soi et quand on ne peut donner qu’un seul gros coup de marteau devant soi suivi d’une lame de vent sur une portée très courte en face.
Ce changement d’arme est potentiellement volontaire mais il peut également être involontaire. Explication : dans Ghost’n Goblin, les armes ne sont pas déblocables et équipables à votre guise. En tuant certains ennemis ou en trouvant des coffres cachés à détruire, il se peut qu’une arme apparaisse. En passant dessus, vous l’équiperez automatiquement. Lorsque vous considérez qu’une arme n’est pas optimale dans le stage dans lequel vous progressez et qu’un changement est préférable, tout se passe plutôt bien. Mais lorsque dans le feu de l’action vous tuez simplement un ennemi portant un pot et que dans celui-ci se cache une arme non désirée, que vous équipez par erreur, cela devient plus délicat.
Encore une fois, ce n’est pas nécessairement un mauvais point, c’est simplement propre à la série et à sa difficulté. Du coup, certains seraient tentés de faire très attention au contenu du pot que portent certains ennemis. Mais il arrive que les évènements de stage retiennent votre attention plus qu’il n’en faut et que votre vigilance sur les pots faiblisse. D’autres choisiront certainement également d’éviter de détruire les coffres pour ne pas avoir de mauvaise surprise en terme d’armement.
Pourtant, chaque niveau nous propose un certain nombre de coffres cachés ayant un contenu parfois aléatoire. C’est à dire qu’il y a parfois une nouvelle arme comme parfois un véritable malus avec un ennemi caché à l’intérieur qui nous jette un mauvais sort. Celui-ci peut nous transformer quelques secondes en grenouille incapable d’agir convenablement. Et dans un jeu où les ennemis et les projectiles apparaissent de toute part, nous ne pouvons pas perdre quelques secondes à juste tenter d’esquiver tout ça. Autant ne prendre aucun risque et n’ouvrir aucun coffre, n’est-ce pas?
Pourtant, pour les connaisseurs certains coffres contiennent des bonus qui nous rapportent quelques points en plus sur notre score de fin de niveau et surtout la fameuse armure dorée ! L’armure dorée nous apporte une protection supplémentaire mais surtout elle booste notre arme équipée ! A vous de décider si le risque pris à l’ouverture des coffres en vaut la chandelle. Autrement, pour les chevaliers les plus téméraires, trouver et ouvrir tous les coffres cachés d’un niveau est une des quêtes annexes du jeu.
Êtes-vous un Paladin ou un Laquais?
Voilà en quoi consiste Ghost’n Goblins Resurrection en termes de gameplay général. Une expérience difficile à ne pas mettre dans n’importe quelles mains. Nous le mentionnions, le ton est donné dès le début : il est possible de sélectionner un niveau de difficulté mais les développeurs lancent déjà le défi aux fans en plaçant celui-ci sur la difficulté la plus haute d’entrée de jeu, le mode de difficulté “Paladin”.
Dans ce mode, les checkpoints sont rares avec des ennemis popant de presque n’importe où et la disparition de notre chevalier se fait en deux points de vie. Ajoutez à cela les fameuses phases millimétrées et nul doute que la mort vous attendra plusieurs dizaines voire centaines de fois avant que vous ne parveniez déjà à un premier checkpoint. D’autant plus que ce reboot enlève la mécanique du double saut, rendant les sauts plus millimétrés sans possibilité de se rattraper.
Êtes-vous un véritable Paladin ? Arriverez-vous à répondre à ce challenge et à parcourir tous les niveaux dans ce mode de difficulté vanté comme étant le plus proche de l’expérience originale ? Ghost’n Goblins Resurection fait certainement office de test psychologique pour tout joueur Switch. Si les fans sauront à quoi s’attendre en acceptant d’y aller en difficulté “Paladin”, les autres joueurs simplement audacieux pourraient très vite sombrer dans la désillusion.
On en vient à penser que ce reboot est un partenariat entre Nintendo et Capcom afin de booster encore les ventes de la console hybride sur le dos des amateurs qui jetteront la leur par la fenêtre à cause de la trop grande difficulté du jeu. On ne saura que conseiller à ceux-ci de mettre leur fierté de côté et commencer à baisser la difficulté du jeu. À part en “Paladin” mode dans lequel le jeu considère que vous avez assumé votre choix, à partir du niveau “Chevalier” (deuxième niveau de difficulté en partant du plus difficile) le jeu lui-même vous suggérera de diminuer après quelques défaites.
Dites-vous qu’il ne s’agit pas forcément d’abandonner complètement le défi de jouer en Paladin mais de faire vos preuves sur des niveaux de difficulté plus modestes pour ensuite revenir plus rodés. Le mode Chevalier proposera un point de vie supplémentaire, légèrement moins d’ennemi et plus de checkpoint. L’Écuyer poursuit en ce sens en rendant l’expérience encore plus simple.
Quant au mode Laquais, les développeurs préviennent d’emblée que vous n’aurez pas accès à l’intégralité de l’aventure en jouant ainsi. Voir la fin du jeu est réservé aux chevaliers les plus chevronnés ! La fin de Ghost’n Goblins est une récompense qui se mérite ! D’ailleurs, on ne parle là que de la première run. N’oublions pas de mentionner l’habituel seconde run des ténèbres qui se débloque après avoir sué une première fois à travers les cinq royaumes du jeu. La première run n’est toujours que l’échauffement dans Ghost’n Goblins.
Le mode Ténèbres vous proposera ainsi une seconde run à travers les royaumes déjà parcourus mais sous un aspect plus sombre, farcis d’ennemis et de modifications d’éléments du décor. Cela participe à renforcer toujours plus la difficulté si le jeu n’était déjà pas un cauchemar pour vous. Finir le jeu une fois vous permet également de débloquer le métronome magique qui vous permet d’influencer le rythme du jeu. Vous pourrez alors ralentir ou accélérer la vitesse de jeu. Cependant, notez que cela ne rend pas forcément l’aventure plus facile à vivre.
Si vous en demandez toujours plus, soulignons que Ghost’n Goblin est une expérience également arcade et basée sur le scoring. Ainsi en plus de jouer le jeu dans les différentes difficultés, vous pourrez indéfiniment le rejouer afin de tenter d’obtenir le meilleur score possible. La durée de vie dépendra donc totalement de votre appréciation du jeu, allant de quelques minutes pour ceux qui abandonneront à plusieurs dizaines d’heures pour les amateurs de challenge. La question légitime devient ainsi celle de savoir combien de temps vous allez passer à mourir dans les niveaux du jeu ?
La difficulté de la réalité face à la modernité
Après tout ce qu’on vous a énoncé, vous devinez que l’expérience Ghost’n Goblin cible un public de connaisseurs précis et assez old-school. Un public composé de joueurs qui se relèvent même après mille morts. Ce joueur qui sort toujours grandi de parcourir un centimètre de plus à chaque mort. Tout ça pour flatter son ego d’une part mais aussi pour cette satisfaction indescriptible d’avoir surmonté l’impossible. Pourtant, Capcom tente avec ce reboot de moderniser la formule afin de l’ouvrir également à un tout nouveau public.
Cette modernisation passe tout d’abord par le fameux mode “Laquais” que l’on vous a décrit plus tôt. Un mode qui fait office de difficulté “facile” et vous octroie notamment un sort d’invulnérabilité. La contrainte de ce mode étant de grandement limiter la progression possible du joueur dans l’histoire. À l’inverse, pour ceux en recherche de difficulté supplémentaire, le jeu propose également des défis à relever avec des trophées à débloquer. De quoi rallonger un peu la durée de vie pour les plus téméraires.
Au-delà du mode “Laquais”, Ghost’n Goblins Resurrection propose un arbre de compétences sur lequel vous pourrez utiliser des esprits. Cela vous permet de débloquer des compétences et magies utilisables dans votre aventure. Vous aurez par exemple la possibilité de créer un mur de protection temporaire autour de vous parmi d’autres compétences et magies. Il s’agit de les débloquer avec des esprits et équiper les dites compétences à votre arsenal avant de débuter une mission.
Les esprits sont similaires aux coffres cachés et font partie des annexes du jeu. Chaque niveau a un certain nombre d’esprits cachés à attraper, parfois même à l’intérieur des coffres dissimulés. Un point sur les esprits peut vous rassurer : en les touchant une première fois, celui-ci vous est définitivement acquis même si vous devez perdre la vie juste une seconde après. Après quoi, l’esprit apparaît toujours mais il ne fait que rapporter des points à votre score de fin de niveau.
La quête des esprits peut être fastidieuse en termes de difficulté mais la récompense peut en valoir la chandelle en fonction des compétences que vous choisirez de débloquer. Dans le cas où vous débloquez une compétence qui ne vous plaît pas tellement, il est même possible de récupérer vos esprits dépensés pour les attribuer ailleurs. Un système de compétence nullement révolutionnaire qui permet à la formule très arcade de la série de se moderniser à sa manière.
Après tout, les magies étaient autrefois déblocables uniquement en acquérant une armure d’or. L’arbre de compétences permet ainsi à tout le monde de pouvoir éventuellement débloquer des sorts plutôt que de jouer le beau en cherchant une armure d’or à tout prix. Cela est ainsi une manière de donner un léger coup de pouce aux joueurs sans les obliger à juste paraître ridicule en jouant en “Laquais”. Une aide qui reste limitée dans le sens où après avoir utilisé un sort il faudra attendre plusieurs secondes avant de pouvoir l’utiliser à nouveau ou utiliser une autre compétence. Il n’y a ainsi pas d’abus si ce n’est la difficulté du jeu qui reste abusivement haute mais est totalement assumée.
Une autre feature sympathique qui vous aidera incontestablement à progresser dans le jeu, c’est son mode coopératif. Ghost’n Goblins Resurrection vous laisse la possibilité de prêter une manette ou un joy-con à un ami sur le canapé afin de vous prêter assistance. Ainsi, même si vous n’êtes pas amateur de défi hardcore, il est totalement possible pour vous de trouver du fun dans le jeu en laissant l’expérience hardcore à un ami plus familiarisé à ce type de jeu pour vous limiter à un rôle de soutien.
En coop, le second joueur contrôle un esprit protecteur qui peut aider à éliminer des monstres en balançant des attaques mais également défendre Arthur à l’aide d’un bouclier. Gardez en tête que cet esprit de soutien n’est pas invincible et que les monstres peuvent l’éliminer. Lorsque cela se produit, le second joueur ne peut simplement pas jouer quelques instants. Après quelques secondes, il réapparaît à l’écran et peut reprendre son rôle si le joueur incarnant Arthur n’a pas déjà trouvé la mort durant ce laps de temps.
Soulignons que le mode coop n’est disponible qu’en local. Ghost’n Goblins est une expérience hardcore après tout, quoi de plus hardcore que de fricoter avec des amis sans se soucier d’une certaine pandémie ? Pour ceux qui n’ont pas d’ami proche d’eux, il est peut-être temps de sympathiser avec le voisin ou potentiellement votre animal de compagnie. La licence se modernise mais ne lui en demandons pas trop dès son premier retour depuis dix ans !
Poursuivons sur une autre modernisation de la licence, une modernisation plus basique à constater. On parle bien entendu de la partie technique du jeu. Expérience fluide en TV comme en portable, c’est un premier gros bon point pour un jeu misant sur une difficulté hardcore et des ennemis de partout. Graphiquement, le RE Engine montre qu’il est capable de belles prouesses 3D réaliste sur Switch avec Monster Hunter Rise mais qu’il est tout aussi capable de faire dans le genre coloré en 2D.
Les animations délibérément rigides et lourdes d’Arthur contrastent avec celles des démons aux animations plus riches. C’est un parti pris assumé, ne serait-ce que pour rendre hommage au Arthur d’hier et de totalement parler aux fans. Cela peut être un premier point qui mitigera les joueurs. À côté de ça, c’est ce rendu de personnages et paysage entre 2D et 3D qui peut chambouler les yeux. On peut comprendre que ce mélange visuel puisse ne pas fonctionner au regard de certains.
Pourtant, en s’y attardant, les décors sont plus détaillés que jamais et globalement la réalisation arrive à rendre hommage aux anciens jeux tout en 2D. C’est propre, fluide et très coloré avec un joli travail de lumières sur certains niveaux ainsi qu’un level design très soigné. D’autant plus que l’image renvoyée est similaire en TV et en portable. Il est à souligner que les joueurs TV bénéficieront d’un avantage car ils auront peut-être un écran plus large et ainsi l’impression d’un champ de vision plus adapté pour voir les ennemis. Chaque millimètre de visibilité de l’ennemi est important dans un Ghost’n Goblin !
Enfin, toute cette présentation est accompagnée par une bande son avec quelques thèmes inédits mais surtout des thèmes connus réarrangés et remis au goût du jour. Les premières notes de musique du premier royaume résonnent de nostalgie et ramènent les plus grands fans vingt ans en arrière. Les bruitages du jeu sont également mis à jour et peuvent vous aider à repérer des éléments cachés dans les décors. Une réalisation visuelle et sonore plus que correcte notamment pour flatter les fans de la série !
Conclusion
Êtes-vous de ces “gamers” relativement peu convaincus par la ludothèque Switch ainsi que les annonces faites ? Faites-vous partie de ces gens convaincus que sa ludothèque est adaptée à un public amateur de fun simple ? Capcom se présente en ce début d’année avec Ghost’n Goblins Resurrection afin de jauger si vous êtes digne de prendre ainsi de haut les adorateurs de jeu vidéo. Relevez le défi seul et prouvez que vous êtes un véritable Paladin digne de cet ego que vous entretenez. Si vous y parvenez, respect à vous et félicitations. Pour les autres, apprenez à pleurer votre impuissance puis à respecter tout type de joueur. Mieux, en admettant enfin votre faiblesse, il est temps de vous ouvrir à un ami moins expérimenté que vous dans le milieu mais qui pourra vous prêter assistance et potentiellement vous permettre enfin de voir le bout du cauchemar Ghost’n Goblin. Une expérience destinée à un public bien précis mais qui peut totalement s’ouvrir à tous pour peu que vous ayez le cœur à partager cette aventure ainsi que la véritable satisfaction de surmonter avec succès une épreuve que vous pensiez impossible.
LES PLUS
- Même pour de la 2D et des couleurs, le RE Engine impressionne !
- Des démons et des décors pleins de détails
- Techniquement bon en TV comme en portable
- Le retour de la licence Ghost’n Goblins !
- Cette difficulté légendaire est toujours au rendez-vous !
- Des boss sataniquement punitifs
- L’arbre de compétences
- Les coffres cachés et les esprits à trouver pour les plus téméraires
- Des trophées à obtenir !
- Le scoring à l’infini pour les grands fans
- Une durée de vie qui variera selon les profils de joueurs
- Le monde des Ténèbres après la première run !
- Plusieurs modes de difficulté pour s’adapter au niveau de tous
- Un mode coop pour du fun à deux
- Les musiques qui nous ramènent en arrière
LES MOINS
- La réalisation entre 2D et 3D qui peut faire grimacer
- Les animations rigide et la lourdeur voulue d’Arthur ne seront pas appréciées de tous
- Où est passé le double saut ?
- L’obligation de surmonter la difficulté pour accéder à tout le contenu du jeu
- Combien abandonneront le challenge ?
- Le coop uniquement en local
- Ça manque potentiellement de thème inédit bien marquant
Ce test confirme ce que je pensais de ce jeu : il respecte le jeu d’origine tout en étant bien modernisé.
Le jeu a l’air super cool mais la difficulté me fait très peur. Difficile de savoir si on est fait pour ce jeu.
l ayant achete sur snes…..c est cruellement tres dur ….vraiment dommage
c’est pas du tout le même jeu, pour le savoir, faut savoir lire les articles
genre tu as acheté un jeu toi
J’hésite encore … Il était prévu en boite aussi ?
Que des bons souvenirs de rage contre l’écran avec ce jeu <3
Pas de version boite non
Dommage… ^^;
Mais qui sait, peut-être pas impossible !
De mémoire, il n’y avait pas de double saut sur Ghosts N Goblins, mais sur Ghouls N Ghosts oui.