Bienvenue à tous dans cette nouvelle preview de Emio – L’homme au sourire. Cette nouvelle préview ajoute quelques éléments supplémentaires à la précédente en tachant de ne révéler que le strict minimum du scénario. En effet, nous préférons vous laisser découvrir cette histoire captivante par vous-même.
Sans plus attente nous vous laissons lire cette courte preview.
Petit récapitulatif de la première preview
Emio – l’homme au sourire est nouveau visual novel d’enquête policière de la série Famicom Detective Club, qui sortira sur Nintendo Switch le 29 août 2024.
Le jeu, disponible en français pour la première fois, se distingue par son ambiance captivante, ses graphismes détaillés et une bande-son immersive.
L’intrigue débute avec un meurtre mystérieux rappelant une affaire non résolue datant de 18 ans, liée à une légende urbaine inquiétante : celle d’Emio – L’homme au sourire. En effet, un lycéen à été retrouvé mort étranglé avec un sac en papier sur la tête sur lequel un visage souriant a été dessiné.
Le gameplay est toujours un peu daté mais il reste simple et intuitif. Il est renforcé par la qualité de la traduction qui permet au joueur de faire plus simplement des déductions que si le jeu était dans une autre langue.
La preview n°1 est disponible ici !
Chapitre 2 : accélération du scénario
Dès les premières minutes de jeu, entre le meurtre, l’ancienne affaire non résolue et la légende urbaine, notre enquête s’annonce déjà passionnante.
Nous commençons par accomplir notre travail de détective : recueillir des témoignages sur la victime, rechercher des indices sur la scène de crime, et bien plus encore. Au fil de nos investigations, un élément clé vient élargir le cadre de notre enquête. En effet, il apparaît que l’affaire actuelle, ou du moins celle qui s’est déroulée il y a 18 ans, est liée à une mystérieuse disparition.
Cette enquête parallèle s’avère fascinante, tant par les faits qu’elle révèle que par les personnes qu’elle implique. Pour éviter de gâcher la surprise, nous n’en dirons pas plus. Sachez simplement qu’elle ajoute une dimension supplémentaire à l’intrigue, enrichissant ainsi le scénario tout en éveillant notre curiosité. Une curiosité déjà bien présente pour résoudre le meurtre sur lequel nous enquêtons, mais qui devient ici encore plus pressante.
En résumé, ce chapitre a redoublé notre envie de poursuivre l’aventure et de découvrir tous les mystères qu’elle recèle.
Une routine d’enquêteur mais pour combien de temps ?
Le gameplay se précise davantage dans ce deuxième chapitre. Comme dans les précédents opus, nous aurons l’occasion de mener l’enquête non seulement avec notre personnage principal, mais aussi en prenant temporairement le contrôle de notre collègue de bureau.
Les actions et interactions restent les mêmes, et les informations cruciales sont automatiquement consignées dans notre carnet, nous permettant ainsi de faire nos propres déductions. Chaque jour, nous poursuivons notre travail sur le terrain en interrogeant des témoins, des collègues ou des proches afin de rassembler des indices et tenter de résoudre l’affaire. Le soir, de retour au bureau, nous effectuons une routine consistant à passer en revue les faits marquants de la journée. Ce récapitulatif quotidien vise à « orienter » ou « guider » le joueur dans la bonne direction. C’est un ajout appréciable, bien qu’il souligne la rigidité du titre, qui ne laisse pas de place aux erreurs.
Cependant, compte tenu de la qualité globale du jeu et de l’intrigue palpitante qu’il propose, cette rigidité ne nous a pas gênés. Il nous semblait toutefois important de le mentionner.
En résumé
Nous restons totalement absorbés par l’histoire, et la complexité croissante du scénario est un véritable atout. Jouer à Emio – L’Homme au sourire demeure un plaisir, et plus nous progressons dans l’intrigue, plus l’envie de résoudre ses mystères devient irrésistible.
Le jeu réussit à être suffisamment immersif, à mi-chemin entre un livre et une série, rendant toute interruption difficile. Nous avons hâte de vous livrer un test complet afin de confirmer cette impression.