Découvrez la plus mignonne des Squids dans Super Squidlit, développé et distribué par Squidkit Ink qui en sont à 2 jeux à leur actif. Super Squidlit est un hommage à la Game Boy Color aussi bien les graphismes que la musique et c’est très clair vu que dès le démarrage du jeu les rebords sont les contours d’une Game Boy Color et l’écran de jeu fait la taille de ce qu’on verrait d’une Game Boy. Les seuls jeux faits par la boîte sont une série de jeux vu que le 1er jeu est Squidlit qui est l’épisode qui précède super Squidlit, Squidlit est aussi un hommage, mais à la Game Boy de base (la Dox Matrix Game).
Histoire
Dans le précédent épisode la terrible Skwit Skwot qui se fait appeler « the God Emperor » à créer une potion qui allait rependre le mal afin de conquérir le monde, mais le dur à cuire Plip la Squishu va empêcher les plans machiavéliques de Skwit Skwot, bizarrement un mystérieux objet tombe du ciel suite à l’affrontement.
Après un peu de repos, Plip reçoit la visite du sorcier qui l’avait envoyé dans sa précédente quête, le sorcier envoie Plip à la rencontre de la « God Emperor » venu pour parler du mystérieux objet tombé du ciel.
L’histoire est assez simple, elle est expliquée avec beaucoup d’humour, ça serra constamment le cas entre les références et les dialogues des pnj qui raconte leur vie invraisemblable, absolument jamais le jeu ne se stoppera de se foutre de la gueule du monde.
Gameplay
Le gameplay est quasiment le même que l’épisode précédent, Plip à un double saut grâce à son encre qui sert pour aller plus haut et attaquer les ennemis. Dans cet épisode, elle ajoute à son arsenal une attaque taclée où elle fonce sur ses ennemis, mais ça permet aussi d’aller plus loin dans les airs, la principale capacité du tacle est de foncer dans un mur ce qui permet d’y monter. La dernière capacité est d’appuyer sur pad du bas et Plip fera une petite danse qui servira à sauvegarder dans certains endroits. En revanche, si vous le faites près d’autre pnj, ils se mettront à leur tour à danser. Les ennemis sont tous adorables et vous feront probablement regretter de les éliminer, vaincre les ennemis est simple même si la plupart demandent un peu plus qu’envoyer de l’encre ou foncer dessus. Rien de folichon, mais la variété d’ennemis est assez importante. Le jeu n’est pas uniquement une plateformer, vous aurez des phases où vous contrôlerez Skwit Skwot en vue FPS exactement comme un Doom, mais on ne retrouvera pas le côté nerveux, les niveaux seront trop similaires pouvant perdre le joueur et les graphismes des murs font mal aux yeux. Vous aurez à votre disposition une barre de vie, une barre d’exp et une barre de mana, en tuant des ennemis, vous obtiendrez de l’expérience qui servira à améliorer les sorts de Skwit. Skwit Skwot aura 4 sorts actifs et 5 sorts passifs, les sorts passifs ont 3 niveaux d’amélioration alors que les sorts actifs ont 5 niveaux. Pour les sorts actifs, on aura un lance-flamme, un jet d’encre de Plip, un nuage électrique et un vol de mana.
Les sorts passifs seront très importants, car ils donnent des statistiques supplémentaires comme plus de mana ou PV surtout qu’une des compétences permet de récupérer du mana sans ça, il est obligatoire d’utiliser le vol de mana régulièrement qui fait peu de dégât.
Les 2 parties principales du jeu sont le plateformer avec Plip et le FPS avec Skwit, à d’autres parties du jeu on trouvera des « mini-jeux » qui vont diversifier l’aventure de Plip de temps en temps.
Des boss seront de la partie, on ne sait jamais quand ils seront vraiment présents que ce soit avec Swkit ou Plip puisqu’on n’a pas un système logique d’apparition de boss, ils sont présents quand ils le veulent. Les boss sont soit très faciles soit un peu difficile donc ils poseront rarement un problème.
Musique et level design
Les musiques sont correctes, elles ressemblent à des musiques qui viendraient d’une Game Boy Color donc pour les fans de rétro et nous mettent dans l’ambiance général du jeu, c’est parfait, ça pourrait repousser les indifférents aux rétros.
Les différents niveaux avec Plip ont tous leur propre environnement heureusement qu’on ne passe pas par les classiques mondes de glace, de feu etc… Malgré les graphismes « datés, » on voit qu’ils ont mis beaucoup d’efforts pour rendre les niveaux uniques. Si on parle des niveaux de Skwit malheureusement tout se ressemble seule la couleur des murs varie d’un niveau à un autre et les ennemis changent selon le niveau. C’est suffisamment simple pour se repérer facilement. Les niveaux sont souvent assez simple, on aura souvent des niveaux où le chemin est très linéaire même lorsqu’on peut prendre un autre chemin, heureusement la capacité du tacle de Plip rendra les niveaux moins évidemment à naviguer et poussera le joueur à foncer sur tous les murs qu’il voit. On pourra récupérer des boutons de diverses couleurs qui seront cachés dans chaque niveau qu’on échangera contre des recettes inutilisables, les boutons ne seront utiles que pour les try harder des 100 % sinon passer votre chemin.
Conclusion
Super Squidlit est un adorable qui rappel la fameuse boule rose de Nintendo avec une grosse touche d’humour, le gameplay est simple, mais vraiment agréable à jouer pour Plip et un peu trop répétitif avec Skwit Skwot, la musique et les graphismes mettront dans l’ambiance de la bonne vieille Game Boy Color. Le jeu étant assez court (seulement 3 h) vous n’aurez pas trop le temps de vous ennuyer et les quelques défauts du jeu seront vite dépassés par la qualité générale du jeu, les conversations dé-biles avec les PNJ et les personnages importants seront toujours hilarants. Finalement un jeu solide qui est, par moment, répétitif, la nostalgie montera en vous avec ses gra-phismes et musiques et le jeu arrivera toujours à vous arracher un rire avec ses dialogues et le gameplay sera varié pour ne jamais s’ennuyer.
LES PLUS
- La nostalgie qui monte
- Les contrôles sont vraiment agréables à jouer
- Plusieurs phases de jeu assez bien réalisé
- L’humour est présent
- Un hommage à la Game Boy mémorable
- Des niveaux linéaires mais suffisamment variés
LES MOINS
- Pas de traduction française
- Les niveaux en vue FPS un peu trop répétitifs
- Le 100 % ne donne rien d’incroyable